Les dirigeants d’entreprises dénoncent certains clichés des commerciaux et estiment que le métier est fait pour les plus talentueux

 

Le vendeur aux yeux des entreprises

Le vendeur ne pas être ni talentueux et fainéant, ni un ardu à la besogne mais accroché à ses cours de sa formation vente. Le commercial est un véritable entrepreneur à qui sont confiées de multiples missions pour devenir acteur clé au sein de l’organisation dont il dépend. Ceci est du forcément aux effets de la crise économique et la digitalisation de l’entreprise.

 

Il aura donc 3 fonctions essentielles : Il sera à la fois stratège en rationalisant à la perfection ses approches commerciales pour adapter les offres aux besoins des clients. Il se devra tout aussi bien être un excellent juriste pour négocier les conditions contractuelles de ses ventes et même un manager pour coordonner les différentes équipes pluridisciplinaires. Enfin, il sera un excellent financier garant de la pérennité de ses engagements.

Perspectives des métiers de la vente

Désormais les métiers de la vente ont de plus en plus tendance à offrir des opportunités de carrières brillantes mais seulement à de jeunes diplômés bien formés et connaissant à la perfection les techniques du marketing, la stratégie et le management. Ils seront recrutés à des postes de responsables commerciaux grands comptes, postes jugés à grande responsabilité.

La vente est tout aussi un tremplin pour booster sa carrière et sa rémunération. En effet, il s’avère que les directeurs commerciaux promus à des postes de directeurs généraux est en nette croissance. Ceci vient prouver combien la fonction commerciale censée être un mal nécessaire aux yeux des financiers est en train de s’assumer et prendre le pouvoir.

 

La question qui se pose serait de savoir, selon l’INSEE pourquoi en France où le chômage atteint des records et notamment chez les jeunes, il existe encore 150 000 postes de commerciaux où il encore possible de postuler. Par ailleurs, il est tout à fait possible de remarquer que les entreprises peinent à trouver le bon commercial. L’entreprise a tout intérêt à se défaire de ses préjugés et d’attribuer au jeune commercial la place qu’il mérite via l’épanouissement professionnel que cette fonction représente non seulement pour lui, l’entreprise qui l’emploie et toute l’ économie.

Source : Lefigaro

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